Repo Men de Miguel Sapochnik

Publié le par Xyrons

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Scénario

Dans un futur proche, les hommes sont parvenus à prolonger et améliorer la vie de leurs semblables à l'aide d'organes artificiels extrêmement sophistiqués et coûteux, élaborés par une société connue sous le nom de L'Union. Le sombre pendant de cette percée scientifique : lorsque les "greffés" ne sont plus à même d'honorer les échéances de leur crédit, L'Union envoie alors ses agents spécialisés, les Repo Men, pour reprendre la marchandise, sans se préoccuper du confort ou de la survie de leurs clients insolvables.
Rémy, un des meilleurs repo men sur le marché, est victime d'un arrêt cardiaque et se réveille avec le dernier modèle de cœur artificiel implanté dans le thorax, et la note salée qui l'accompagne. Cette intervention forcée produit cependant un effet indésirable : Rémy n'a plus le cœur à l'ouvrage. Quand il se retrouve dans l'incapacité de payer ses traites, L'Union assigne alors son agent le plus coriace, Jake, l'ex-coéquipier de Rémy, pour le retrouver et récupérer son bien.
Le chasseur est devenu la proie...


Acteurs

Jude Law, Forest Whitaker, Alice Braga, Liev Schreiber


Mon avis



J’ai trouvé ce film correct mais sans plus.

Dans Repo Men, l’Homme a découvert le moyen de créer des cœurs artificiels. Le problème, c’est que ces cœurs coutent très chère. Du coup, des agents spécialisés sont chargés de reprendre les organes artificiels des clients n’ayants pas pu payer (et ceci de manière parfaitement légal). Malgré l’invraisemblance d’un tel acte, le scénario est plutôt intéressant et le sujet est bien traité. Du côté de la mise en scène, Miguel Sapochnik réalise un travail correct : il y a un bon rythme, une ambiance qui colle au thème etc… En revanche, je n’ai pas accroché à toutes les scènes d’actions.
Pour la distribution, le duo Jude Law, Forest Whitaker fonctionne parfaitement et les deux acteurs sont convaincants dans leurs rôles. De même que Liev Schreiber qu’on  ne voit pas suffisamment à mon gout.

Bref, c’est loin d’être un chef-d’œuvre, mais ça se regarde…


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